Band 1: Zentrale Behörden, Wojewodschaft Allenstein, History and Memory: mass expulsions and transfers 1939-1945-1949, Forced Migration in Central and Eastern Europe, 1939-1950, Gouvernement national réorganisé de la république de Chine, Crimes de guerre nazis en Union soviétique, Viols durant la seconde invasion de la Pologne par l'Armée rouge, Prisonniers allemands en Union soviétique, Crimes nazis contre les prisonniers de guerre soviétiques, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Expulsion_des_Allemands_d%27Europe_de_l%27Est&oldid=178983405, Massacre ou atrocité de la Seconde Guerre mondiale, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Seconde Guerre mondiale/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. La situation en Slovaquie est différente, car le nombre d'Allemands était déjà faible avant la guerre et les Allemands des Carpates furent quasiment tous évacués lors de l'avancée de l'Armée rouge. Armee (Wittenberg). 1:44:05. Le gouverneur de Silésie, Aleksander Zawadzki expropria tous les Allemands par décret du 26 janvier et émit le 6 mai un autre décret selon lequel toute possession « abandonnée » appartenait au gouvernement polonais[76]. Ils furent considérés par les Soviétiques comme citoyens soviétiques et transférés dans des camps spéciaux en Union soviétique[88]. Toutes les possessions allemandes furent confisquées. Armeekorps. Avec au moins 12 millions[102],[40],[148],[149] d'Allemands directement touchés voire 14 millions[99],[100], ou plus[101], il s'agit du plus grand mouvement ou transfert d'une unique population de l'époque contemporaine[149],[150],[151], et le plus grand parmi les transferts de populations qui suivirent la fin de la guerre (qui touchèrent plus de 20 millions de personnes au total)[148]. Le paquebot Wilhelm Gustloff fut touché par trois torpilles tirées par le sous-marin soviétique S-13 commandé par Alexandre Marinesko dans la nuit du 30 janvier 1945 et coula en moins de 45 minutes. Gruesome Harvest by Ralph Franklin Keeling, Institute of American Economics, 1947. De toute manière, après le coup d'état communiste du 6 mars 1945, le nouveau gouvernement roumain approuva toutes les exigences soviétiques et 213 000 Allemands de Roumanie furent expulsés sous divers motifs, le plus fréquent étant celui de « collusion avec le fascisme »[13]. Au 1er juin 1945, 400 000 d'entre eux avaient franchi l'Oder et la Neisse vers l'est avant que les autorités communistes ne ferment la frontière ; 800 000 autres retournèrent en Silésie depuis la Tchécoslovaquie[38]. En dépit des avancées rapides de l'armée soviétique, les autorités allemandes interdisaient souvent aux habitants de quitter leur domicile sans permis ou raison officielle valide. Le nombre de civils allemands morts varie de 500 000[109],[110] à un maximum de 3,2 millions. Das Ringen um die Führung der Wehrmacht 1933-1945, Paderborn u.a. Februar 1945 setzten sowjetische Einheiten südlich bei Schwetig (heute Świecko) über die Oder und bildeten im Frankfurter Eichwald einen Brückenkopf. April 1945 rollt mit Hurra und Heldentod die letzte Offensive der Sowjet-Marschälle Georgij Konstantionowitsch Schukow (1. Les nazis négocièrent des transferts de population avec Joseph Staline et Benito Mussolini pour que les pays puissent accroître leur « homogénéité ethnique ». Les populations allemandes habitant les territoires occupés par l'Union soviétique en 1939-1940 à la suite du Pacte germano-soviétique comme la Bessarabie ou les Pays baltes furent transférées en Allemagne et en Pologne occupée. Le Gauleiter Karl Hanke déclara que la ville serait défendue jusqu'au dernier homme et par conséquent l'évacuation fut stoppée. Lors du recensement de 1931, il y avait moins de 3 % d'Allemands dans la population totale. Ukrainischen Front gelingt es, im Raum von Küstrin und Guben an der Oder die Verteidigungslinien der Wehrmacht zu durchbrechen und auf die deutsche Reichshauptstadt Berlin vorzustoßen. Le général Georg-Hans Reinhardt, commandant du Groupe d'armées Centre avertit Hitler de la menace soviétique mais le Führer refusa d'ordonner le repli. Das XX.Armeekorps war ein militärischer Großverband der deutschen Wehrmacht.Es nahm ab Juni 1941 im Rahmen am Angriff auf die Sowjetunion teil. En novembre 2005, Der Spiegel publia un sondage de l'Institut Allensbach selon lequel 61 % des Polonais interrogés croyaient que les Allemands tenteraient de récupérer leurs anciens territoires ou qu'ils demanderaient des réparations[158],[159]. Les Allemands de la mer Noire furent les premiers évacués en 1943, vers la Grande-Pologne et l'Allemagne[10]. Les opérations lancées à partir du 12 janvier 1945 constituent une démonstration de la maîtrise de l'art opérationnel acquis par l'Armée rouge. Les Soviétiques interrompent leur avancée, leur logistique ne pouvant suivre un tel rythme, et dans le but de sécuriser leurs flancs étendus. Après la fondation de la République fédérale allemande, la loi du 24 août 1952 fut destinée à améliorer la situation économique des expulsés. À Potsdam, il fut accepté[118] que 15 % des équipements industriels de la zone occidentale, en particulier dans le domaine sidérurgique et chimique, seraient transférés à l'Union soviétique en échange de produits alimentaires, de charbon, de potasse (pour la production d'engrais), de bois et de pétrole. Les autorités des camps se montrèrent également plus tolérantes vis-à-vis des internés arrêtés lors des tentatives de fuite[97]. Les biens abandonnés par les expulsés en Pologne et en Tchécoslovaquie furent utilisés pour récompenser les nouveaux gouvernements et le soutien aux communistes était particulièrement fort dans les zones d'expulsion. Retrouvez [Hitler's Wehrmacht, 1935--1945] [By: Muller, Research Institute of Military History Potsdam Rolf-Dieter] [July, 2016] et des millions de livres … L'impact psychologique et social fut tellement immense que même aujourd'hui, les expulsions sont entrées dans le vocabulaire allemand simplement comme « la Fuite » ou « l'Expulsion » sans avoir besoin d'autres précisions, tout comme la référence à la Seconde Guerre mondiale est simplement « la Guerre ». Près de 2,2 millions de personnes furent évacués par cette voie. En 1995, une commission germano-tchèque a révisé les estimations antérieures et estima qu'il y avait eu entre 15 000 et 30 000 victimes. Par la suite, le président allemand Richard von Weizsäcker s'excusa auprès de la Tchécoslovaquie durant sa visite à Prague en mars 1990, après que Václav Havel eut répété ses excuses en déclarant que les expulsions furent les « erreurs et les péchés de nos pères ». Armee (Wenck) statt. Comme Winston Churchill le déclara en 1944 à la Chambre des communes, « L'expulsion est la méthode qui, d'après ce que nous en savons, sera la plus satisfaisante et durable. Si l'administration militaire s'occupait des Allemands arrivés avant juillet 1945, elle tenta de refouler les nouveaux arrivants en provenance de l'Est. Le 29 décembre 1945, le Parti communiste hongrois, alors au gouvernement, ordonna l'expulsion de quiconque s'était déclaré allemand au recensement de 1941 ou avait été membre de la SS ou de toute autre organisation militaire allemande. WK (1939-1945) Reichskreditkassenscheine 2. Nahezu zweihundertfünfzig sowjetische Divisionen sind zum Sturm auf das Deutsche Reich angetreten. Aufstieg Verlag, Munich, 1980. Ce fut l'un des grands transferts de populations de l'histoire contemporaine et le plus important parmi ceux qui eurent lieu à la fin de la guerre. Finalement, seuls 800 000 des 2 490 000 habitants d'avant-guerre restèrent en Prusse-Orientale[32]. Durant 15 semaines, plus de 900 000 civils et 350 000 soldats[20] furent transférés à travers la mer Baltique à destination de l'Allemagne et du Danemark. Créée sur ordre d'Heinrich Himmler, une organisation appelée Selbstschutz composée d'Allemands polonais fut créée pour participer à l’Intelligenzaktion. Environ 180 000 Hongrois de langue allemande furent privés de leur citoyenneté, de toutes leurs possessions et furent expulsés vers l'ouest de l'Allemagne[65]. Biman, S. - Cílek, R.: Poslední mrtví, první živí. De nombreux réfugiés tentèrent de retourner chez eux après la fin des combats. Les États satellites ressentiraient à présent le besoin d'être protégés par les soviétiques contre la colère allemande[136]. ». 500 000 autres réfugiés trouvèrent refuge en Autriche et dans d'autres pays[106]. Par conséquent, la plupart des partis acceptèrent de participer à la vie politique et ses représentants acceptèrent d'entrer au gouvernement. The 3rd Infantry Division was an infantry division of the German Army that fought in World War II.The division was established under the cover name Wehrgauleitung Frankfurt in 1934 by expanding the 3rd Division of the Reichswehr.It was redesignated Kommandant von Frankfurt shortly afterward, and took on its bona fide name when the formation of the Wehrmacht was announced in October 1935. Les forces alliées occupant l'Allemagne de l'Ouest étaient opposées à ce transfert car elles estimaient que la situation économique de l'Allemagne ne lui permettait pas d'accueillir d'autres réfugiés. Jusqu’au printemps 1945, près d’un million de soldats de la Wehrmacht ou des Waffen-SS furent capturés par les Anglais ou les Américains, pour la plupart envoyés dans des camps de prisonniers ordinaires. Von Wolf Stegemann. Le mouvement d'émigration connut un pic après la Libération de 1989 (chute de la dictature communiste) de sorte qu'en 2002, il restait 60 000 Allemands sur les 179 000 d'avant 1990[48],[60]. Une des raisons données par Staline pour les transferts de populations allemandes des territoires de l'est de l'Allemagne fut que ces régions étaient des places fortes du mouvement nazi[140]. Beaucoup y moururent des suites des mauvais traitements et de la pénibilité du travail. D'après un sondage de l'institut Allensbach de novembre 2005, 38 % des Tchèques pensent que les Allemands veulent récupérer leurs anciens territoires ou obtenir des réparations. Ces expulsions furent tolérées et même encouragées par le gouvernement tchécoslovaque. Parmi ces derniers, 33 % étaient des enfants de moins de 12 ans et des personnes âgées de plus de 60 ans, 51 % étaient des femmes. Les expulsions qui eurent lieu avant que les Alliés ne s'accordent sur les détails à Potsdam sont appelées expulsions « sauvages » (allemand : Wilde Vertreibungen). Le manque de logements dura jusque dans les années 1960, ce qui associé aux autres pénuries mena à des conflits avec les populations locales[99],[114]. Elle représente les expulsés allemands et leurs descendants soit actuellement environ 15 millions de personnes. D'après Reichling[80], sur 520 000 Allemands transférés en Union soviétiques comme travailleurs forcés, 185 000 moururent. La politique officielle des Heimatvertriebene n'est pas de répéter les expulsions de l'après-guerre avec de nouvelles expulsions, annexions et transferts de population. Klaus-Jürgen Müller, Das Heer und … Après la guerre, le gouvernement néerlandais décida d'expulser les 25 000 Allemands vivant sur son sol[69]. L'offensive débute le 24 février avec l'utilisation de la fraîche 19e armée soviétique de Dmitri Kozlov. Chronik des Jahres 1945. Am 19. Reinklicken und zudem Bücher-Highlights entdecken! Des altercations entre des paramilitaires du SdP et l'armée déployée dans la région aggravèrent les troubles dans le but de justifier une intervention militaire allemande. Ces personnes furent emmenées en Autriche mais beaucoup revinrent au printemps. L'article XII de l'accord concerne les expulsions et il y est écrit : « Les trois gouvernements, après avoir considéré la question sous tous les aspects, reconnaissent que le transfert vers l'Allemagne des populations allemandes restantes en Pologne, en Tchécoslovaquie et en Hongrie doit être entrepris. Du fait du soutien de certains d'entre eux aux nazis et en particulier de leur engagement dans la 7e division SS de volontaires de montagne Prinz Eugen, tous les Allemands souffrirent de persécutions[48]. Cette liste ne couvre que les unités de la Wehrmacht ayant combattu sur terre de 1939 à 1945.Cette liste n'est pas exhaustive [1].Elle comprend de plus, de façon exceptionnelle, des unités d'échelons inférieurs (brigades, régiments, voire bataillons) ayant marqué l'histoire de la Heer durant la Seconde Guerre mondiale Cette évacuation fut l'une des réussites les plus significatives de la flotte de guerre allemande[22]. Les échanges de populations entre la Turquie et la Grèce ont apporté de la légitimation à ce concept. April drangen die Truppen der 3. Marine-Division (Marine-Infanterie-Regiment 8 bis 10), dafür Neuaufstellung des AR 234 16.4.1945, Montag. Il n'y aura plus de mélange de population causant des troubles sans fin... Nous devons faire table rase. Eine Woche darauf unterzeichnete der Chef des Oberkommandos der Wehrmacht (OKW), Generalfeldmarschall Wilhelm Keitel, am 8./9. La majorité des Germano-Baltes fut transférée avant l'occupation soviétique des États baltes. Après 1945, le gouvernement démocratique tchécoslovaque et le gouvernement communiste polonais ont poursuivi des politiques globalement similaires à l'égard de leurs minorités allemandes. Gebäude ab 1938 Offizierskasino der Pionierschule 1 der Wehrmacht ++ hier ratifizierten in der Nacht vom 8. zum 9. Cette reconnaissance fut initialement considérée comme inacceptable par tous les partis ouest-allemands à l'exception du parti communiste. La Pologne est sans doute le pays qui a le plus souffert de l'occupation allemande. Cependant, certains d'entre eux demandent une compensation de la part des Polonais. Beaucoup commirent des atrocités dont des viols et des meurtres et ne faisaient pas toujours la distinction entre les Allemands et les Polonais, les maltraitant de la même façon[82]. Neary, Brigitte U. and Holle Schneider-Ricks. Les Allemands restants encore considérés comme citoyens yougoslaves furent employés dans l'industrie mais pouvaient se libérer de la nationalité yougoslave pour l'équivalent de trois mois de salaire[97]. Avant l'annexion de la région des Sudètes par l'Allemagne nazie, la majorité des habitants de ces régions était allemande, soit 22 % de la population tchécoslovaque[51]. La déclaration de Potsdam demandait à ces pays de cesser temporairement les expulsions[41]. 16:49 . Toutefois entre 700 000 et 800 000 Allemands furent touchés, dans le contexte de l'épuration antinazie d'après-guerre, par les « expulsions sauvages », effectuées sans base juridique par l'armée et des milices populaires[54] entre mai et août 1945[52],[55]. Le 24 janvier 1945, le troisième front biélorusse mené par le général Tcherniakhovski, encercla la capitale de la Prusse-Orientale, Königsberg. Constantin Daicoviciu, Alex. Leur nombre a constamment baissé depuis la Seconde Guerre mondiale. Potsdam Brest-Litowsk Orel New York g r g r Peter Pirker Codename Brooklyn. ». Leurs anciennes possessions ne leur furent cependant pas rendues[88],[92]. Du fait de sa localisation sur la mer du Nord et sur la mer Baltique, un grand nombre de réfugiés arrivèrent par mer et les rations déjà modestes durent être réduites d'un tiers en mars 1946. Si les expulsions de Tchécoslovaquie ralentirent, ce ne fut pas le cas pour la Pologne et les anciens territoires allemands[44]. De nombreux Allemands furent employés comme travailleurs forcés dans des camps de travail administrés par les autorités communistes comme ceux dirigés par Salomon Morel et Czesław Gęborski. Cependant, en dépit de cette impréparation, le climat et le territoire favorisent la défense[10]. Dans ces circonstances, de nombreuses situations pouvaient mener à un conflit : Au début du XXe siècle, il existait des populations allemandes jusque dans le Caucase et le long de la Volga. Reaktionen 32 Beiträge 123. La dernière modification de cette page a été faite le 19 janvier 2021 à 17:19. Michael Levitin, L'Allemagne provoque la colère de la Pologne en annonçant la construction d'un musée sur les Allemands qui ont fui la Pologne pendant la guerre, Telegraph.co.uk, 26 février 2009. Dokumente aus polnischen Archiven. En Pologne et en Tchécoslovaquie, des journaux[145], des tracts[145] et des politiques de tout l'échiquier politique demandaient une compensation pour les activités militaires allemandes durant la guerre[145],[146]. Mai 1945 war auch für die deutsche Heeresgruppe Kurland der Krieg endlich zu Ende. Ces camps comprenaient d'anciens camps de concentration et d'extermination nazis comme ceux de Zgoda et de Jaworzno, anciennes annexes d'Auschwitz ou celui de Lambinowice. Teilen der sowjetischen 1. La restauration récente du château de la famille Moltke à Krzyżowa est un exemple réussi de coopération germano-polonaise. Cette estimation n'est plus considérée comme valable, Détail par pays : Pologne, 2 000 000 ; Tchécoslovaquie, 225 600 ; Yougoslavie : 69 000 ; Roumanie : 20 000 ; Hongrie : 11 000C, Die deutschen Vertreibungsverluste, 1939–50 (Pertes allemandes dues aux expulsions, 1939–50). Adam Kraft Verlag, Mannheim 1978. Les formes de vengeances personnelles prises à l'encontre des personnes identifiées comme des Allemands ou des collaborateurs ont été justifiées par une définition juridique vague de ces groupes... Jürgen Weber, Germany, 1945-1990: A Parallel History, Central European University Press, 2004, « Une réévaluation des expulsions allemandes de l'est de l'Europe est devenue possible après 1989 et l'effondrement du communisme. Des Allemands furent massacrés comme à Ústí ou enfermés dans des camps particulièrement rudes[103]. Die an allen Fronten geschlagene Wehrmacht floh hinter die Reichsgrenzen zurück. Munich, 2001. de Zayas, Alfred M. "Die deutschen Vertriebenen". La dernière modification de cette page a été faite le 15 décembre 2020 à 21:17. De même que pour les Allemands, la Pologne expulsa 482 000 des 622 000 Ukrainiens vivant en Pologne dans le cadre de l'opération Vistule[49]. I am not alarmed by these transferences, which are more possible in modern conditions. Dans un espace organisé par des axes de communication Ouest-Est, les planificateurs soviétiques prévoient une série d'offensives sur des axes Nord-Sud, aboutissant à tronçonner la Poméranie orientale en poches désarticulées les unes par rapport aux autres[8]. Jahrhundert: ein Lexikon, C. H. Beck, 2005. Les Soviétiques, qui encourageaient et participaient en partie aux expulsions, ne se préoccupaient pas des conditions de vie des expulsés et demandaient aux Américains et aux Britanniques d'absorber les réfugiés dans leur zone d'occupation. Infanterie-Division (94.ID) (94 e Division d'Infanterie) est une des divisions d'infanterie de l'armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. By the end of January, the division was down to a strength of 6,800 men, about half of the planned manpower of an infantry division. Les lois publiées depuis autorisent les expulsés à réclamer des compensations[68]. Helmut Preußler Verlag Nürnberg, 1988. Bien que cette décision fut bien accueillie par la minorité allemande, les critiques pointèrent que l'initiative se limitait aux anti-nazis qui combattirent activement pour l'État tchécoslovaque mais pas aux anti-nazis en général ou aux non-nazis. Les estimations concernant le nombre de morts varient de 10 000 à 250 000 personnes[57]. En 1937, la plupart des dirigeants du SdP soutenaient les objectifs pangermanistes d'Hitler[6]. Armee bestand zu diesem Zeitpunkt einerseits aus Hitlerjungen und Männern des Reichsarbeitsdienstes, andererseits aus erfahrenen Soldaten und schweren Waffen, welche aus den Ausbildungsstätten der Wehrmacht herangezogen wurden. Le territoire de Memel annexé par l'Allemagne fut transféré à la RSS de Lituanie. Am 9. Il absorba la plupart des partis nationalistes dont le parti nazi. Le gouvernement nationalisa leurs possessions sur la « décision de transfert des propriétés ennemies vers l'État, sur l'administration étatique des biens des personnes absentes et sur la séquestration des possessions saisies de force par les autorités d’« occupation » du 21 novembre 1944 par le conseil anti-fasciste pour la libération du peuple yougoslave »[95]. La question des réparations fut soulevée en réponse à des procédures légales visant à demander des compensations pour les propriétés abandonnées par les expulsés. Néanmoins, c'est vers l'Allemagne de l'Ouest que 210 000 d'entre eux demandèrent à émigrer durant cette période, quitte à payer des taxes au gouvernement roumain au prorata des études effectuées[13]. Des politiciens polonais ont affirmé que seule une réponse sous la forme de revendications de réparations par la Pologne pourrait supprimer les efforts de certains citoyens allemands et de leurs défenseurs politiques qui tentent de réclamer une indemnité de la part de citoyens polonais dans les procédures civiles. Les 400 000 Allemands de la Volga[87] et environ 80 000 autres[87] de zones différentes furent transférés en Sibérie, au Kirghizistan et au Kazakhstan où ils durent rester après la guerre[50],[87]. En Pologne, les crimes motivés par la nationalité des victimes ne peuvent pas être prescrits. Les expulsions eurent principalement lieu dans l'actuelle Pologne (Poméranie, Prusse, 7 millions de personnes) et en Tchécoslovaquie (Silésie, Sudètes, 3 millions de personnes) mais touchèrent la plupart des pays d'Europe centrale et orientale. Près de 2 000 passagers moururent[27]. Haffner, Sebastian: Preußen ohne Legende. Hrsg. Les routes d'évacuations furent donc rapidement bloquées par les forces soviétiques. La préparation soviétique n'échappe pas au renseignement militaire allemand, parfaitement conscient de la situation militaire dans le secteur[9]. Les zones d'expulsion étaient la Tchécoslovaquie (en particulier la région des Sudètes) et les territoires cédés à la Pologne jusqu'à la ligne Oder-Neisse[41].